Patrice Evra s'est fait voler son baise-en-ville Vuitton. Il menace de repartir à la chasse à la taupe comme à Knysna, en Afrique du Sud en 2010, si vous ne faites rien.
Vous ne voulez pas d'histoire. Vous lui donnez celui de votre femme. C'est la collection de l'hiver précédent, mais Evra est un garçon raisonnable, il va bien finir par accepter.
Le groupe vit trop bien, hors de question de laisser passer ça. Vous ne voulez pas savoir qui c'est, mais vous donnez vingt-quatre heures au coupable pour le déposer dans votre bureau.
« Pardon ? Non mais on n'est pas dans la 4e B du collège Jean Monnet ! » Vous dites à Evra qu'on s'en tamponne et qu'il n'a qu'à s'en racheter un.
Le baise-en-ville réapparait dans le salon Aimé Jacquet comme par magie. Patrice est en joie.
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